euh bonsoir

*Asurmen entre timidement dans la salle de recrutement*

hé bien bonsoir a vous

je me nomme Asurmen, certain d'entre vous me connaisse deja, d'autre non ^^
mon nom dira quelque chose a certain *regarde rsca*

pour ceux qui se rappel pas x)
je suis la femme d'un charmant et merveilleux sadi de votre guilde: j'ai nommé le gentil et tout doux Sadikan ^^

donc je me presente aujourd'hui devant vous car je souhaiterais grossir vos rang et evolué avec des personnes que j'apprecie et qui m'ont toute l'air aussi sympathique les unes que les autres =). Je n'ai pas la pretention de me dire meilleure que d'autre, mais je vous assure de bon moment de gaieté et une activitée important de ma part ^^ ainsi qu'un investissement dans votre guilde

donc je suis une Sadida de cercle 9X (j'ai up lvl90 ce midi apres 9jours a faire du 1lvl/j) ^^
j'exerce quelque metiers : paysan lvl97 (bientot 100) et boulanger lvl100 (ça sens le pain) ^^

je suis brakmarienne de grade5

l'origine de mon pseudo est celle d'un hero de la mythologie Eldar d'un jeu de role nommé Warhammer40 000

je me nomme en réalité Valentine
je suis en fac de pharmacie a Lille (une grand ville du nord de la France (59))
je vais sur mes 20ans

et je vais maintenant passée a ma presentation RP ^^ (accrochez vous c'est du lourd et du long)


Asurmen? C'est un être à double vie, incontrôlé par sa colère et nourrit par ses rêves. Un être à double personnalité. On la voit, de temps à autre, aidant des aventuriers lorsqu'ils sont dans l'impasse, et d'autres fois, à les aider à rejoindre l'impasse. Si vous la croisez, tout de noir vêtu, entouré d'une brume noire épaisse, passez votre chemin, ou la mort vous attendra. Mais si vous la croisez en temps normal, une aide précieuse vous parviendra. Telle est la loi de Asurmen.

"Bjorn ? Bjorn, tu es là ?"
Asurmen criait, comme si elle était perdu.
"Oui, par ici" lui répondit une voix.
Il devait être l'heure de la demi-lune mais le soleil restait haut dans le ciel et la forêt restait ainsi éclairée. Asurmen et Bjorn, deux Demons à la quête d'or, revenaient d'une bataille qui constituait pour eux leur travail. Ils vivaient dans la mort des autres mais ne tuaient que brigands et voleurs .
"Où es-tu ? Je ne te vois pas et ..." reprit Asurmen, interromput par le cri de son ami. Elle se dirigea dans la direction de celui-ci pour faire face à ce qui pouvait lui arriver de pire. Bjorn se trouvait par terre, une épée le transperçant. L'assassin portait un capuchon noir. La haine défila en Asurmen et elle resta immobilisée, paralysée par la peur, de par le sourire du tueur. Après avoir poussé un rire démoniaque, l'agresseur disparu sans raison valable, avec ce que Asurmen considérait comme sa seule famille. Elle était seule au centre de la forêt d' Asturb. Il fallait retrouver le tueur, mais seule, Asurmen n’y parviendrait pas. Elle se mit en direction de Brakmar afin d’y trouver de l’aide. Heureusement, le trajet se passa sans encombre. Lorsqu’elle arriva à destination, elle interpella un soldat à qui elle expliqua la situation.
« Je ne peux décider seul de cela. Il faut que je rassemble les autorités locales et le maire. Va donc à l’auberge en attendant. J’expliquerais ton problème et reviendrais te prévenir de la réponse. Mais as-tu une description du tueur ?
-Non, je n’ai pas pu le voir. Il portait un capuchon noir et n’a prononcé aucune parole. Je vous en prie, faites vite avant qu’il ne soit trop loin. »
Après la discution, Asurmen suivit les indications du soldat et se dirigea vers l’auberge. Elle était calme comparée à celle de Amakna mais il faut dire que Brakmar est un peu loin de tout et comme ses plaines sont très dangereuses, seuls de forts aventuriers osent venir jusqu’ici. Mais la plupart de ceux qui combattent dans les plaines pour s’entraîner s’arrêtent à Bonta pour s’y ravitailler et se reposer, pour la simple raison que cette ville est plus près des plaines que Brakmar l’est. Asurmen s’installa à une table en retrait de la salle en attendant le retour du soldat. Elle eu honte d'elle ; comment pouvait-elle rester dans une auberge, à attendre, bien au chaud, pendant que l’assassin jouit de son crime et de sa liberté. Bjorn ne serait sûrement pas rester à une table en attendant que des personnes discutent, des personnes qui ne parviendront peut-être jamais à la fin de leur débat, ou bien qui refuseraient de l’aider. Mais Bjorn n’était plus de ce monde…


Asurmen était seule dans l’auberge. La nuit était tombée rapidement. Le feu crépitait dans la cheminée. Seules certaines personnes séjournant à l’auberge animaient l’établissement. Mais aucune agitation ne semblait percer la concentration de Asurmen sur ses futurs projets. Seule l’entré du soldat le fit sortir de ses pensées. Asurmen s’empressa d’aller quérir ses réponses :
« Alors, qu’en pense l’assemblée ? Vous allez m’aider ?
-Je suis désolé. Tu ne fais pas partis de notre chère ville, tu n’est pas née ici. Nous n’avons aucune preuve de ton identité. Selon le maire, tu pourrais très bien être le tueur lui même.
-Comment pouvez vous dire cela ? Si j’étais le tueur, que viendrais-je faire ici, à demander de l’aide ?
-D’après les seuls renseignements que tu m’aies donnés, tu es un Demon. Votre but à vous autre ‘tueurs d’âmes’, c’est de suivre les indications de votre employeur pour être payé et si je ne me trompe pas, et je ne crois pas me tromper, les indications peuvent être individuelles, c’est à dire la mort d’un nombre peu important d’hommes, ou bien de groupe, comme par exemple l’attaque d’une ville. Après cette guerre contre ces maudits tueurs qui rôdent, le maire craint pour Brakmar et c’est normal. Tu ne peux lui en vouloir qu’il ne veuille courir un si gros risque. Me comprends-tu ?
-Oui mais que dois-je faire maintenant ? Je ne suis née dans aucune ville mais dans la forêt, sous un arbre. J’ai été retrouvé par des mercenaires qui m’ont élevés. Je ne connaît même pas mes parents, impossible de savoir où ils sont, si ils sont vivants ou mort. Après avoir développer ma technique au baton , j’ai quitté les miens. Je ne peux prouver mon identité de demon solitaire qu’avec des mots et ma sincérité. Mais d’après les dires de votre maire, aucune ville ne pourra prendre ce risque.
-Il peut y avoir Asturb qui …, reprit le soldat, interrompu.
-Asturb ? Mais qu’auront-ils à faire que d’aider une pauvre sadida ? Cette ville abrite l’une des plus grandes armées de ce monde, et comme vous l’avez énoncé, nous sommes en guerre. Vous êtes les seuls à pouvoir m’aider J’ai séjourné plusieurs temps ici, vous avez appris à me connaître.
-Ne dit pas n’importe quoi. Personne ne te connaît, tu es tellement mystérieuse. Je suis désolé pour toi, mais pour les rares fois que je t’ai vu dans l’enceinte de la ville, tu ne m’as pas paru un mauvais bougre mais le maire n’a que faire de cela et tu le sais. Nous en resterons là. »
Sur ces dernières paroles, l’homme quitta l’auberge après avoir tapoté l’épaule de Asurmen. Cette dernière, regardant le sol, serra les poings. Une sorte d’onde déferla en elle. Quelque chose qui vous donne envie de vous frappez lorsque vous vous sentez impuissant. Etais-ce de la colère ?
« Que m’arrive t-il ? De la haine ? Non, je ne peux pas éprouver ce sentiment envers ce soldat. De la colère ? Sûrement, mais elle est comme étrange. Comme si une autre personne la ressentait à ma place … »
Asurmen prononçait ses mots tout en regardant ses poings. Puis, plus rien. Elle s’assit à la table où elle se trouvait précédemment, et regarda le feu, tout en réfléchissant…



Il n’y avait plus que deux personnes dans la salle principale de l’auberge ; le demon, et l’aubergiste, occupé à ranger toutes sortes d’objets mis aux services des clients. Il n’était pas particulièrement tard, mais en ces temps, la nuit tombait vite. Asurmen s’approcha du comptoir et demanda un repas afin de restaurer son estomac de ces émotions.Apres s’être rassasié, elle monta dans sa chambre, mais sa marche se fit interrompre par des paroles de l’aubergiste :
« Dormez tranquille, il n’y aura pas d’attaque de ces tueurs cette nuit car la lune n’est pas pleine. »
Après un hochement de la tête, Asurmen s’enferma dans sa chambre, posa son baton au coin du lit et se mit à l’intérieur de ce dernier.
« C’est décidé, ce tueur terminera sa vie transpercé par ma ronce »
Ceci furent ses dernières pensées avant de se plonger dabs un sommeil mouvementé. Elle fit un de ces rêves dont on n’arrive pas à sortir et dont on se souvient très bien le lendemain. Elle se trouvait dans une forêt, face à face avec un homme au sourire narquois. L’homme, face caché par un capuchon, tenait dans sa main la tête de Bjorn.
« Ah, Bjorn ! » sursauta Asurmen.
Le soleil perçait les rideaux de la chambre de la jeune demone qui se trouvait sur son lit, assit et tendant la main.
« Humph, un rêve … » se rassura t-elle.
Elle se leva et se revêtit. Elle portait une tunique de couleur variante entre le beige et le marron clair. Ses bottes étaient d’un marron plus foncé. Elle avait une sorte de cape feutrée de noir munit d’un capuchon, en cas de pluie. Son baton était rangée dans son fourreau qui pendait en bandoulière dans son dos. En rangeant ce dernièr, un effet de surprise se dessina sur son visage. Elle la prit en main.
« Hum, il me semble beaucoup plus légèr que d’habitude. Je pense qu’il faudrait que je le change. Je n’aurais peut-être pas de prochaine occasion pour me racheter un baton et celui-là commence à être usager. »
Elle le remit en place, sortit de sa chambre, quitta l’auberge après avoir payé sa nuit, et chercha une armurerie dans le patelin. Il était tôt mais la ville était déjà pleine de monde. Le soleil était là, mais pas un nuage ne manifestait sa présence. Asurmen se renseigna afin de trouver le magasin. C’était une maison, toute spécialement aménagée pour servir d’armurerie et de forge Le choix n’en était pas moins varié. Le gérant apparu et entama la conversation :
« Je prendrai honneur et plaisir à vous servir, gente dame !
-Je vous laisse ce baton, mais j’en recherche un autre », lui répondit Asurmen. Entre temps, son regard se fixa sur un baton -si l’on pouvait l’appeler comme ça- deux fois plus long que la normale. La largeur en restait tout bonnement modeste. Le gérant perçut le regard de son client.
« Celle-ci vous intéresse ?
-Il me semble …spéciale.
-Il est pourtant, si l’on puit dire, normale, je vous l’assure. Ne vous laisser pas abuser pas la taille, son maniement y fait défaut. Je ne vous la conseil pas, je me demande d’ailleurs ce qu’elle fait encore dans mes ventes.
-Puis-je le tester ?
-Je vous en prie, prenez soin de me suivre ! »
L’armurier guida le tavernier dans une arrière salle de forme visiblement carrée. Asurmen y resta un certain temps avant de prendre enfin le baton. Le vendeur, prêt à vouloir vendre sa marchandise, le retint un peu :
« Vous me semblez tout l’air d’un mercenaire, ou un guerrier, je me trompe ?
-En effet, pourquoi cette question ?
-Une armure ne vous serait-elle pas bénéficiaire ?
-Je compte voyager. Une armure ou un bouclier serait trop lourd. Je ne prendrais que cette arme. Au plaisir ! »
D’un signe de la main, la jeune sadida quitta l’armurerie.
« C’est incroyable, ce baton me semble aussi légèr que long…Bon, pas le temps de rêvasser, Bjorn, j’arrive ! »
Elle se mit alors en direction des bois

désolée pour le double post ^^' (mon rp ne tient pas sur un seul post)

Au matin, après avoir mangé parmis les animaux, Asurmen repartit de bonne heure, dans la direction qu’Algo son amie d'enfance lui avait indiqué. Le chemin qu’elle prit était simple et visiblement souvent empreinté,à en voir les traces de pas, de sabots, ou encore les creux causés par les roues des charrettes. Après maintes heures de trajet, Asurmen arriva jusqu’à une cité fortifiée. Elle en resta bouche bée.
« Nom d’un panda…CrydeE, la cité des étoiles. J’ai lu bon nombre de livres dessus à la bibliothèque de Brakmar. Comme la forêt de Lominë, cette cité vient à nous, si cela fait partit de notre destin. On l’appelle aussi la cité des guerriers perdus. Les traces que j’ai pût remarquer tout à l’heure n’ont donc rien à voir avec CrydeE »
Asurmen s’avança plus près de la cité, et les portes s’ouvrirent à elle. En entrant, elle fut surpris par la couleur des pierres utilisées pour faire les maisons : elles étaient couleur argent. Plusieurs personnes arrivèrent vers la sadida, tous en armure, quand soudain l’un d’eux s’exclama :
« Bjorn, enfin te revoilà ! »



La pluie faisait rage au dehors. Elle lavait les rues de la cité. Asurmen se trouvait dans le bâtiment central de CrydeE, avec deux hommes et le roi, Alfafi. Un des deux gardes prit la parole :
« Votre ressemblance avec Bjorn est ahurissante ! Je me nomme Kräleater, je suis le frère de la Reine, Krystalia. Et voici Suna-no-Gaara. Comment t’appelles-tu ?
-Je suis Asurmen, un ancien demon. Je faisais route avec Bjorn.
-Il est fort étonnant que Bjorn soit mort aussi facilement que tu nous l’a décrit. Il n’y a pas de doute, le tueur est un expert. Bjorn était l’un des nôtres avant, et la cité a eu bien du mal à se remettre de son départ, qu’il n’a d’ailleurs jamais justifié. Mais tu as repris sa voie ! Pour voir CrydeE, il faut en avoir la volonté, mais aussi que cela soit inscrit dans notre destin, dit Alfafi.
-En effet, vouloir faire partie de votre cité est une volonté que j’ai choisis, répliqua Asurmen. »
Elle avait bien une idée derrière la tête. Elle voulait savoir pourquoi Bjorn avait quitté la cité, qui semblait merveilleuse, mais où aussi l’ambiance semblait chaleureuse. Et pourquoi sans raisons…



Cinq mois ont passé. Asurmen, toujours à la disposition de CrydeE, fait partie d’une troupe d’élite. Parmi celle-ci, l’on comptait de bons amis au jeune mercenaire, tels que Garr, Linkinsam, Tidus, Germign’on, Kräleater, Suna-no-Gaara, ou même Alfafi et Krystalia, le Roi et la Reine de CrydeE. Tout allait pour le mieux. Tous étaient des mercenaires qui ont pris le même chemins pour se réunir dans cette cité. Leur but est maintenant d’agir comme des mercenaires, mais en groupe. Cependant, à l’aube d’un jour habituel, tout bascula…Dans la chambre de Garr, l’on avait découvert une horreur : le mercenaire s’était donné la mort, juste après avoir écrit des mots sur un parchemin. On pouvait lire :
« Ces guerres me font pleurer tous les jours. Je ne peux plus tuer, ma vie est un enfer. Je te quitte CrydeE, toi et les tiens … »
A en voir l’état de son épée et de son corps, Garr s’était transpercé le cœur à l’aide de son gourdin. Un moyen rapide et sûr pour se suicider. Dans la cité, se fût d’abord la panique. La révélation du suicide se dégrada en un massacre. Certains prirent peur d’être les prochains sur la liste et désertèrent la cité, tandis que d’autres décidèrent de retrouver le tueur …Ils avaient beau être en groupe, leur instinct étaient formés à ceux de mercenaires, formés à agir seuls. La cité n’était pas soudé, c’était du « chacun pour soi ». Tout le monde se sépara, Asurmen continua sa route, seule, comme auparavant, pendant que Garr disparaissait avec les débris de la cité abandonnée…



Pendant plusieurs mois, Asurmen fit sa route à travers Dofus. Retrouver l’assassin de Bjorn ne semblait plus être son but principal. Elle s’était habituée à la présence d’amis autour d' elle, dans la cité. Elle cherchait surtout de la compagnie, mais cela, elle l’ignorait. Ses pas la conduisirent au Palais Royal, . Et elle n’était pas venu ici par hasard. Une source importante de documents et d’archives étaient réservée aux soldats de l’Armée*Royale de Bonta, et le Palais était le point de recrutement. Les demons étaient considérés comme dangereux par l’Armée, c’est pourquoi beaucoup de documents recelaient de leurs niveaux et leurs histoires. Peut-être que l’un de ces écrits concernerait Bjorn. D’un pas sûr, mais léger, Asurmen se dirigea vers le bureau de recrutement, vers une nouvelle page de sa vie.


Son passé de demon restait bien sûr secret afin de garder les chances de son côté pour être accepté. L’homme derrière le bureau, d’un sourire accueillant et en armure de l’Armée bontarienne, entama la discution :
« Est-ce pour un renseignement ?
-Non, pour un recrutement, si ils sont encore d’actualité.
-Oh, oui en effet, nous recrutons toujours ! Bien, ici, nous ne prenons que votre identité, le reste se fait par des soldats plus hauts gradés que moi. Je vous prierai de me donner vos éléments d’identité.
-Asurmen, c’est ainsi que l’on m’a nommé à ma naissance. N’ayant plus de parents, mon âge ne peut être perçut qu’à travers les traits de mon visage. Cela joue t-il en ma défaveur ?
-Nous ne recrutons pas majoritairement sur l’identité. Sachez simplement que si vous mentez, ou tentez de cacher un passé n’étant pas digne de l’Armée, les hommes censés vous testez le remarquerons, et ce formulaire sera brûlé, et votre recrutement avec. Ces soldats vous testeront principalement sur votre personnalité et votre motivation à rejoindre nos rangs. Suivez ce chemin pour la suite ! »
Asurmen remercia le soldat et suivit le chemin qu’il indiquait du doigt. Asurmen le remercia. Le Palais n’était pas très grand. Il comprenait principalement un hall, avec les prisons et la salle de banquet. A l’étage, les chambres de la famille royale et des domestiques, ainsi que la salle du trône. Tout en suivant les couloirs, Asurmen essaya de retrouver son chemin, jusqu’à ce qu’un homme l’interpella :
« Hum excusez-moi, vous êtes Asurmen ?
-En effet, mais comment ce fait-il que vous connaissiez mon nom ?
-Je suis l’homme censé t’évaluer, l’on m’a donc prévenu de ton arrivée. Je suis Maribor. Je t’en prie, prends place ! »
Asurmen s’essaya face à l’homme, et l’évaluation commença…
La discution prit plusieurs heures, mais Maribor décerna le titre de soldat de L’Armée à Asurmen, au bout de celles-ci. Elle portait à présent une armure avec le blason de l’Armée*Royale dessus. Elle qui était une ex-demon avait finalement été enrolé dans l'armée de Bonta
« Eh bien, soit le bienvenue parmis nous ! Je vais te présenter aux autres »
Maribor ouvrait la porte et laissait apparaître le visage de jeunes adolescents, du même âge que Asurmen.
« Voici Asurmen, un nouveau du groupe »
La jeune recrue fit un salut de la main, et certains soldats, amicalement, vinrent se présenter, chacun leur tour, à lui. Il y avait Baltor, un barbare bien portant, Balgrim, un nain, Zoy, le commandant en second, Armurier et Trésor, deux fabuleux marchands mais piètres soldats, Ouafi, un homme bien poilus, Dominska, que l’on surnommait renard, Tomas, le chef de la milice de Bonta, Omega, un simple soldat de la troupe, et d’autres encore, mais qui semblaient plus timides ou bien dans de mauvais jours car ils ne détournèrent pas leur regards vers le nouveau venu. Soudain, dans un bruit effrayant, la porte se claqua derrière Asurmen et Maribor. Une belle et jeune femme, en tenue violette et avec un serre-tête placé dans se chevelure brune, se tenait là, avec un regard effrayant. Elle entama alors un ‘briefing’ :
« Trêve de bavardages les gars. Un groupe de démons auraient été aperçus du côté de Asturb. Nous devons nous rendre sur les lieux le plus vite possible, et par manque de chance, nous devrons nous occuper du plus grand territoire, c’est à dire Asturb. »
En se stoppant dans son explication, la jeune femme tourna son regard vers Asurmen :
« Nouvelle ? » dit-elle.
Maribor s’avança alors devant la recrue, pour le présenter :
« Oui, j’ai été chargé de son entretien, et je l’ai placé dans notre groupe, car ses compétences dépassent, et de loin, celle d’une recrue ‘normale’.
-Très bien bouffon »
La jeune femme adressa un large sourire accompagné d’un plissement des yeux, à Maribor, qui semblait agacé par ce dernier. La femme sortit alors de la pièce, et tout les soldats se préparent alors au combat. Narahime, surprit de ‘l’insulte’ s’adressa à Maribor :
« Bouffon ?
-Ici, tout le monde m’appelle « Le Bouffon Rose du Roi »
-Pourquoi ?
-Hum, c’est une longue histoire …
-Au fait, qui était-ce ?
-Hum ? Ah elle ! C’est Elmina. La leadeur de cette Armée, notre chef donc. Elle n’est pas très stricte envers nous, mais elle prend son travail très au sérieux, et l’accomplit, selon moi, avec brio. Grâce à elle, nous avons été nommé « Troupe de choc » car chacune de nos interventions est un succès.
-J’ai intérêt à suivre le niveau du groupe alors ! plaisanta Asurmen.
-Je compte bien garder un œil sur toi !
-Tu n’en auras pas besoin je te l’assure … »
Maribor prit alors Asurmen par l’épaule, comme pour le mettre à l’écart du groupe.
« Pour ces démons de Asturb, si c’est nous que l’on envoie, c’est que Rymor est là-bas. C’est la plus puissante des démons de la Hell's Apokalyptik. Tu dois éviter et laisser Elmina s’occuper d’elle, compris ?
-Ce n’est pas mon genre de fuir ou d’obéir, mais on verra bien sur place ! »
Maribor, perplexe, se jura de garder un œil sur sa recrue.


Le plus rapidement possible, la troupe arriva à Asturb, et se déploya. Elle était composée d’une quinzaine de soldats, dont Asurmen. On lui attribua, ainsi qu’à quatre autres soldats, dont Maribor et Elmina, la partie centrale de Adturb, c’est à dire la partie la plus compliquée, car la plus vaste, de la ville. La tâche consistait à pénétrer chaque maison, afin de trouver où étaient dissimulés les êtres démoniaques. Asurmen enfonça alors une porte où se trouvaient trois femmes. Elle pénétra alors seule dans la maison, après que Elmina lui ait glissé ces mots à l’oreille :
« Les démons cherchent à nous duper et c'est pour cela qu'ils prennent apparence humaine. Pour cela, dents acérés et ailes, ils dissimulent. Il demeure cependant une chose qui les distingue.. leurs yeux noirs, cela sera ta seule arme pour les repérer. Observe, analyse puis agit afin de les démasquer.»
Asurme, avançait donc dans la maison. Les trois femmes qui étaient alors au rez-de-chaussée ne présentaient pas de couleur d’iris inhabituelle. Les femmes criaient. L’étage de la maison était en feu. Asurmen emprunta les escaliers plein de sang. Une autre femme, d’une beauté incomparable, descendait sereinement les marches en même temps que le soldat montait. Elle possédait une longue chevelure noire, ainsi que des vêtements de la même couleur. Asurme,, affublé par la beauté de la femme, ne prêtait même pas attention à ses yeux, fort beaux également, et extrêmement profonds. Une fois le croisement entre les deux personnes effectué, Asurmen réalisa alors qu’il n’avait pas analysé la couleur des pupilles de la beauté. Il entendit alors le deffeurement de la lame de son ennemi. Voulant alors la prendre de dos, il se retourna, main à son baton, mais la démone, plus rapide que lui, la prit pas les deux épaules, et le poussa alors du haut des escaliers. Dans un vacarme assourdissant dû à l’armure, Asurmen dégringola et s’écrasa contre une commode, plus bas.
« Cette putain d’armure m’empêche de bouger ! »
Elle l’enleva donc et ramassa son baton qui jonchait le sol, à côté de lui. La jeune femme, toujours aussi sereine, descendait, armée de deux griffes de métal, une à chaque main. Le soldat se préparait donc à parer l’attaque de son adversaire. Celui-ci, très rapide, avança d’un pas précipité vers Asurmen qui tenta de la trancher latéralement de sa lame. La femme se pencha, planta sa griffe gauche dans la cuisse droite de son opposant qui, malgré la douleur, frappa son assaillant au visage avec la garde de son baton. La démone, saignant à la lèvre, ne baissa pas sa garde et accouru vers son adversaire, lui donnant un coup de poing au visage faisant tituber la sadida pour enfin le faire tombé. Il essayait tant bien que mal de se relever, une main sur sa blessure, l’autre cherchant son arme sur le sol. La démone sortit alors une épée, en disant :
« Croyais-tu vraiment pouvoir me tuer, pauvre folle ? »
Elle leva alors son arme en direction de Asurmen pour lui administrer le coup fatal. Mais lorsqu’elle abaissa son arme, un entrechoquement se fit entendre. Une épée séparait la mort de Asurmen. Maribor venait alors de faire face à la femme. Cependant, cela fut de courte durée, et son sort ne fit pas illusion de celui de Asurmen. En quelques instants, il se retrouva à terre, aux côtés de son compagnon, mais avec une très large cicatrice dans le dos, l’empêchant de se relever. La sadida elle, malgré ses blessures, tentait tout de même de lutte contre l’assaillante qui était bien déterminée à tuer les deux soldats. Montrant un certain agacement à l’égard de ces combats n’ayant aucune valeur à ses yeux, elle se précipita vers Asurmen pour en finir avec elle …
« Réveillez vous Soldat, vos blessures ne sont que légères. Inutile de perdre davantage de temps ! »
Elmina traînait Asurmen qui ne semblait pas encore réalisé ce qu’il se passait. Elle emmena le blessé jusqu’à son cheval puis le fit ramener au château afin que les soins les plus urgents lui soit administrés. Après une journée complète de repos, Elmina vint prendre des nouvelles de la santé de sa recrue, mais aussi lui expliquer ce qu’il s’était passé.
« Tu fais peur à voir !

decidement les pages pour les post sont courtes ^^' (encore désolée)

Epargne moi tes ironies …rétorqua le soldat.
-Le supérieur n’est autre que moi ici. De plus, tu as attaqué la seule personne qu’il ne fallait surtout pas provoquer. Je parle bien évidemment de Rymor, la leadeur de ces ennemis. Je suis arrivé visiblement au bon moment, sans quoi je perdais deux hommes. Oui car ton étourderie a bien faillit coûter la vie à Maribor, qui est dans un plus sale état que toi, la présente campagne est finit pour lui …Cependant, ses jours ne sont plus en dangers, m’en verras-tu ravie ? Vous n’avez pas été prudent sur ce coup-là … »
Asurmen garda le silence. La femme se retourna, se dirigea vers la porte et sortit, après avoir dit :
« Revenez-nous vite sur pied, soldat » d’un ton sec.
Difficilement, la blessée trouva le sommeil, et ses pensées s’égarèrent vers Bjorn.
Après plusieurs nuits de sommeil et plusieurs journées de soins, Asurmen reprit ses fonctions. Les temps étant plutôt calmes, elle ne s’éloignait pas beaucoup du Palais. De ce fait, elle profitait de ses soirées pour « fouiller » les archives. Elle utilisait un motif dérisoire, tel la soif de connaissance sur le monde et l’origine du monde des douzes pour pouvoir passer un temps considérable dans ses recherches. Plusieurs lectures de divers manuscrits le conduisirent à s’intéresser plus amplement à CrydeE. Elle n’était qualifiée que de « Cité de légende ». Les habitants ou passagers de cette cité, tel Asurmen le fut, n’avait jamais évoqué leur appartenance. Elle resta donc un mystère pour les livres et pour la civilisation dofusienne, une histoire à raconter aux enfants pour les endormir. Voilà ce qu’on y disait :
«CrydeE est une cité merveilleuse datant de l’an 1214, sous le règne du bon Roland IV. Ce royaume est indépendant de notre monde et nul ne sait où le trouver. Certains le disent au fond d’une mer, habité par des hommes ressemblant à des poissons. D’autres disent le trouver dans une clairière, là où les races ne font qu’une.

Asurmen quitta la ville avec ces informations a la recherche de nouveau compagnon qui l'aideront a retrouvée les assassins de son ami et à venger celui ci en jurant en quittant la cité ne plus jamais se reposée avant de trouver et faire payer l'assassin de son bien aimée.



voila, j'ai dis ce que j'avais a dire, je completerais si il faud, je repondrais a vos questions
bonne lecture et merci d'avoir pris la peine de me lire ^^

Oula ... Après la première lecture j'ai pensé a du copier/collé.

J'ai relu pour en être bien certaine et je me rends compte que ça viens bien du fond du coeur cette histoire.
Mes félicitations ! -> contre POUR.

Et j'espère à bientôt !

je te remercie pour ce contre je veux dire Pour ^^
j'espere que tu ne sera pas le seul a pensé que je suis apte a rejoindre vos rangs et que la majorité m'aimera ^^ (ou pas)
a bientot en jeu =)

UN bon gros pour pr cette demoiselle qui se donne bcp de peine pr fair parti de notre famille, soit la bienvenue

ben il est kiffant doudou ^^
sa barbe bleu me fait pensée a un pirate =')

sinon c'est vrai il est gentil et quiconque dira le contraire recevra ma ronce a -105 x2 >.< ou mon baton a -130 x2 XD (encore faudrait il que je puisse jouée )

EDIT: merci pour vos votes =)

demain je pense etre co a partir de 18h si vous souhaitez me parlé IG ou me posée des questions ^^

un méga gros pour !!!

POUR avec tout le temps kta du mettre

je suis pour mais j'ai pas eu le courage de lire le reste pour connaitre ton lvl xD alors si tu pouvais me le dire ^^

je suis lvl90 ^^

et merci a tous pour vos soutiens ^^

EDIT: votes actuels : 7Pour (+1 de mon sadichou *-* qui sera pas dimanche pour me le(a) mettre xD)

pour rien dire

tu vote Pour? ou tu fais un post pour rien dire xD

Waou !!! !!! !!! Je te mets un super grand POUR Chapeau franchement la présentation ^^.

bon ça fait 8 POUR (9 si the-king voulait dire qu'il votait pour avec son post x) )

t'es sans voix et moi je suis sans guilde recrutée =')

mdr

bon je pense que tu est deja recruté mais bon tampis je dit pour meme si j'ai pas lu la partie que tu a immaginé

Bon je suis en retard mais pour la candid ta fais et les efforts fournis pour entrer dans la guilde C'est un giga POUR que jte met mon ange.bisoux a tout a l'heure.


Votre sadi bien poilu

ta rien trouver de plus long ? xD franchement si tu rajoute 50 ligne jte di contre :p Pour



enfin SI ma voi compte encors :/



++ tlm